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Seven Blackburn


- Seven Blackburn -

la vengeance dans la peau

pseudo : paper gun, sam
in town since : 01/07/2018
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MessageSujet: error_ (7)   error_ (7) EmptyDim 1 Juil - 5:12




BLACKBURN, SEVEN
« death before dishonor »

nom complet: seven. eight. nine. ten. bref, la bonne vieille vanne insignifiante qu’on t’a trop souvent répété. tellement blasé qu’maint’nant t’oses même plus t’présenter. ou tu l’massacres un brin pour qu’ça passe inaperçu. genre, s’ven pour ceux qu’aiment bien foutre des apostrophes un peu partout. ton père, c’comme ça qui t’interpelle. p’t’être bien par lâch’té ou par pitié qu’l’autre t’ait accoutré d’un prénom arithmétique qu’attire les moqu’ries. heureusement qu’tu t’en branles. blackburn, patronyme qui t’colle à la peau, qui prend tout son sens puisqu’t’as l’impression d’être qu’un tas d’cendre d’puis un moment. tu t’es brûlé, consumé et y a c’te braise qu’a duré une éternité. jusqu’à c’que l’dernier tison s’étouffe et finisse par s’éteindre. ☆ âge, date et lieu de naissance: t’as célébré ton vingt-deuxième anniversaire l’deux avril dernier, foulant l’sol d’oakland bien avant c’lui d’mills valley. t’y es resté toute ton enfance et une bonne partie d’ton adolescence, jusqu’à c’que ta mère ait la brillante idée d’s’installer à trente-cinq minutes plus loin, à l’ouest d’ta ville natale. elle voulait du chang’ment, qu’elle disait. grosse erreur. une putain d’connerie, ouais. ☆ nationalité et origines: toi t’es américain, étant né ici même, en californie. y a des effluves européennes dans ton sang, du côté d’la maternelle. d’ailleurs, l’choix d’ton prénom à été un sujet d’discorde entre ton père et ta mère, c’te dernière désirant qu’tu conserves tes racines. l’vieux a r’fusé et, pourtant, elle a quand même eu l’dernier mot en t’baptisant d’un chiffre. une vengeance, p’t’être bien. ☆ orientation sexuelle : t’as pas eu b’soin d’chercher longtemps avant d’te rendre compte qu’t’es attiré uniquement par la gent féminine. t’as jamais eu envie d’tester les mâchoires carrés et les torses velus. t’imagines qu’c’est suffisant pour t’auto proclamer comme étant hétérosexuel. ☆ statut civil: t’es un grand romantique, toi. t’as toujours eu c’t’étincelle dans l’fond d’tes iris quand tu r’gardes une nana qui t’plait. ouais, t’as d’jà aimé. t’as d’jà été en couple aussi. si t’es seul aujourd'hui, c’par choix plus qu’autre chose. t’façon, avec c’qui s’prépare pour toi, t’es p’t’être mieux d’pas envisager la possibilité d’fonder une famille un d’ces jours, ni quoi qu’ce soit qu’implique des sentiments. projet qu’t’as d’jà rayé d’la liste, d'ailleurs. ☆ occupation: t’as jamais récolté les notes parfaites, mais ça t’a pas empêché d’poursuivre tes études et d’te rendre jusqu’à l’université en musique. t’as bossé comme un cinglé pour obtenir des résultats satisfaisants, mais, d’puis c’fameux soir, c’t’à peine si tu t’présentes à tes cours, trop préoccupé pour parvenir à t’concentrer sur la voix des enseignants. du coup, t’y vas, à moitié ou pas du tout, préférant passer ton temps chez l’disquaire où t’as été embauché dès ton arrivé à mills valley. ☆ situation financière: loin d’être riche, loin d’être pauvre, t’as jamais manqué d’rien quand t’étais gosse, toi. l’père qu’avait deux boulots, rarement à la maison et la mère qu’était hôtesse de l’air, y avait toujours deux rev’nus largement suffisant qui permettait d’faire vivre votre p’tite famille. parents qu’t’as surtout croisés au détour d’la garderie, pas vraiment l’temps d’les connaître. t’as jamais été très près d’eux, mais t’avais toujours des fringues neufs et les derniers jouets à la mode qui faisaient envier tous les enfants. ouais, non, t’étais pas à plaindre. t’as manqué d’rien. excepté l’attention et l’amour d’tes parents. aujourd’hui, avec l’paternel en taule et l’autre qui r’pose six pieds sous terre, les billets s’font plus rares. ☆ situation familiale: sujet sensible, sujet qu’t’évites. quand on t’interroge à c’te propos, tu t’contentes d’dire qu’t’en as pas, d’famille. c’plus simple. t’façon, t’es l’seul blackburn qui reste à l’exception du paternel. t’as pas d’fratrie, t’as pas eu c’te chance. alors, c’comme un p’tit con esseulé qu’t’encaisses c’qu’est d’venu ta famille, qu’t’endures les murmures indiscrets qui papillonnent jusqu’à tes oreilles. avec l’père en taule, accusé du meurtre d’ta mère, t’imagines qu’ça d’quoi faire jaser l’monde. et, à mills valley, ils aiment bien les ragots, les rumeurs et les secrets. les blackburn sont une vraie p’tite mine d’or pour les langues sales et les fouteurs de merde. ☆ traits de caractères: ☆ rêveur, impulsif, distrait, romantique, imaginatif, menteur, observateur, discret, lunatique, solitaire. ☆ avatar: maxence danet-fauvel. ☆ groupe: dancing on my own.

—— way down we go ——
hého, y a quelqu’un là d’dans? j’t’ai d’mandé l’heure, l’môme.
un sursaut involontaire suivi d’une succession d’battement d’cil avant d’fusiller ton interlocuteur du r’gard. tes gestes sont décalés, y a ton cerveau qui déconne après un peu plus d’soixante-douze heures sans repos. trois jours sans rêver, sans cauchemars qu’te tiennent éveillé. et les voilà qu’ils viennent s’frôler à la réalité. t’sais même plus différencier la vérité d’l’imaginaire. et y a son visage qui s’déforme, ses traits qui s’étirent sous les néons et qu’te donnent l’impression qu’il va s’métamorphoser en monstre qui vit sous les lits des gosses. une légende urbaine qu’t’affrontes sans sourciller puisqu’il va r’prendre forme humaine aussitôt qu’morphée va t’rendre ta liberté. l’insomnie et sa douce folie. t’aurais dû prendre tes cachets la nuit passée, mais t’as l’dédain d’tout c’qui r’ssemble d’près ou d’loin à un comprimé d’puis qu’elle a grave déconné. t’es en perpétuel r’cherche d’l’illusion parfaite, d’l’onirisme à son apogée. une paix éphémère qui t’fout son poing dans la gueule après chaque réveil. mais t’as les yeux qui brûlent, signe qu’il est bien réel, l’bonhomme sept heures. t’hésites entre lui brandir ton majeur sous l’nez ou lui cracher des injures à la figure. y a son r’gard qui t’lâche pas et tu l’soutiens jusqu’à c’qu’il frictionne ses vieilles paluches dégueulasses l’une contre l’autre. comme s’il s’apprêtait à t’foutre une raclée. t’baisses les yeux vers l’écran d’ton portable en soupirant.
euh, seize heures trente.
t’arrondis. pas d’merci. il t’détaille, toi l’mioche qu’il aimerait bien faire souffrir d’ses violentes caresses obscènes. sale pédé. t’déglutis en t’redressant sur ta chaise alors qu’il r’prend sa place initiale que’ques mètres plus loin. tes coudes viennent s’appuyer sur l’micro comptoir situé en face d’toi et y a c’te vitrine translucide qui reflète un vague portrait d’ta silhouette abîmé. les cernes qui maquillent le d’ssous d’tes yeux détonnent avec ton teint livide et t’donnent un air cadavérique. les lèvres asséchées par la trop grande quantité d’éthanol qu’t’as ingurgité la veille et les doigts squelettiques qu’ébouriffent tes ch’veux d’un geste maladroit. tu souffles, l’myocarde qui s’emballe lorsqu’la porte s’ouvre d’l’autre côté d’la devanture. son entrée est brève, mais tu peux pas t’empêcher d’le trouver cool, enchaîné d’la tête au pied. y a ton reflet qui s’dérobe pour laisser l’sien s’esquisser sous tes prunelles harassés par toutes ces soirées arrosées et ces songes éreintants. il s’installe face à toi et ta carcasse déterré, l’combiné qu’il pose contre son oreille d’un mouvement blasé, trop souvent répété. tu l’imites, décrochant pas ton r’gard d’sa musculature impressionnante, papillonnant ses récents tatouages qui parsèment sa peau alors qu’il ouvre la bouche l’premier.
salut s’ven.
ton d’voix ni méchant, ni charmé. un frisson indésirable traverse ta colonne vertébrale, t’arrachant une grimace mécanique alors qu’l’appareil glisse sous ta paume humide. un soupire qu’tu tentes même pas d’dissimuler franchit le r’bord d’tes lèvres suivi d’tes yeux qui s’emplissent d’liquide lacrymal. y a ta gorge qui s’serre, tellement qu’ç’en d’vient douloureux. et ça fait davantage mal lorsqu’tu t’rends compte qu’t’es pas en train d’rêver, qu’il est bel et bien là, d’vant toi, à t’regarder chialer comme une gonzesse. larme qu’tu ravales par fierté, par honte. par dégoût. parce qu’tu t’es promis d’plus jamais pleurer d’vant lui.
salut p’pa.
sérénade écorchée, l’œsophage irrité. t’es à vif. t’pensais pas qu’ça t’ferait aussi mal d’le r’voir, déterrant c’souvenir à nouveau, rien qu’pour rajouter une raison d’plus d’te venger. et tu t’vois encore, pris d’panique, l’canon d’l’arme appuyé contre ta tempe. tes paupières qui s’ferment, la mâchoire qui s’crispe, lippes qui s’décollent, surplus d’salive, pensées qui s’fracassent, cris qui t’bourdonnent d’es oreilles claquement sourd son corps par d’ssus l’sien padre qui s’donne à cœur joie coup d’feu maternelle inerte paroles étouffées r’gards qui s’accrochent palpitant qui déconne qu’explose la mort. stop! l’réveil brutal. scène qui s’répète. cauchemar qu’arrête pas d’t’hanter. trio décousu, portrait d’famille dépeint. t’étais pas censé être là, t’étais pas s’posé d’renrer si tôt… y a tes yeux qui s’imbibent d’rage aqueuse alors qu’tes iris dérapent sur sa mâchoire crispée et plongent vers son uniforme orange orné d’une insigne qui t’rappelle celle d’une épitaphe.
dwight blackburn, prisonnier du pénitencier de pelican bay.

infos en vrac:

—— hometown glory ——
Depuis combien de temps êtes-vous à Mill Valley ? d’puis qu’t’as dix-sept ans, y a très exactement cinq ans. ouais, y a cinq ans, presque jour pour jour, t’étais en train d’défaire tes cartons pour t’installer dans ta nouvelle chambre. maison aux effluves victoriennes dont ta mère est de suite tombé amoureuse. toi, elle t’faisait flipper. l’parquet qu’arrêtait pas d’craquer, les bruits étranges qui prov’naient du grenier. tes vieux t’disaient qu’c’t’ait sans doute parce qu’t’avais pas suffisamment dormi, qu’c’tait la faute d’tes hallucinations auditives. toi, t’es persuadé qu’avait un truc pas net dans c’te piaule, un truc qu’a fait dev’nir ta mère complètement folle et qui t’a forcé à saisir c’t’arme à feu, c’soir-là. mais, évidemment, t’écoutes ton côté rationnel, c’lui qui t’dit qu’c’est l’connard qu’a couché avec la maternelle qu’a tout gâché. et tu t’accroches à ça, mettant en sourdine ta théorie bidon d’forces maléfiques. on s’moqu’rait d’toi, t’façon, t’es pas crédible. maint’nant, tu loues au p’tit appart’ment, au sud d’mills valley. pas très grand, mais pas dégueulasse. t’es bien. enfin, c’est c’que tu t’répètes pour pas, à ton tour, sombrer dans la folie.
Aimez-vous cette ville ? Pourquoi ? la réponse est assez évidente, t’imagines. d’puis qu’t’as débarqué ici, t’as c’te mauvaise impression de c’te ville. t’aimes pas son architecture, t’aimes pas les quartiers, t’aimes pas les boutiques, t’aimes pas les habitants, t’aimes pas l’ambiance. bref, t’aimes rien. t’la trouves trop hypocrite, comme si tout l’monde cachait un secret horrible, comme si tu dev’nais quelqu’un d’autre rien qu’en foutant les pieds dans c’te bled pourri. et y a c’te putain d’force, toujours, qui te r’tiens ici, qui vous r’tiens tous ici, qui t’oblige à croire qu’tu peux pas partir, qu’a un truc qu’tu dois régler avant. et c’rien qu’une putain d’connerie, une excuses bidon pour pas quitter mills valley et, toi, t’arrives pas à comprendre. tu comprends pas c’qu’arrive, mais t’es persuadé que, tes cauch’mars, c’rien comparativement à c’qui s’prépare.
Dites-nous, quel est votre plus grand secret ? t’as c’souvenir d’ancré dans ta cervelle jusqu’à la fin d’tes jours. toi qu’as pas d’mémoire... c’tait un d’ces soirs, un d’ceux où y a l’padre qui rentre tard, bourré, arraché, pas rafistolable, l’vieux, d’puis qu’ta mère a ouvert ses jambes à un autre m’sieur. et y a toi qu’arrive, qu’était pas censé être là, qu’était pas censé d’voir ça. chicane habituelle, les deux qui s’chamaillent, c’toujours comme ça d’puis qu’elle prend ses cachets, d’puis qu’sa relation part en vrille. par sa faute. elle vacille entre la réalité et la folie. c’te nuit-là, c’est la démence qu’a emporté le d’ssus. marre d’entendre les r’proches du père, ras l’cul d’se faire rapp’ler qu’elle est rien d’autre qu’une salope qu’a tout foutu en l’air. y a l’arme pointé sur l’visage du blackburn qui fait moins l’malin et qui doit s’maudire intérieurement d’avoir laissé traîner son gun dans l’tiroir d’sa table de ch’vet. et y a toi qu’entre en flèche dans la maison, t’freinant quand tu r’marques qu’a plus un bruit, excepté des sanglots. silence étouffant avant qu’ses paroles coulent comme les larmes sur ses joues. elle est désespérée, la vieille. toi qui tente d’calmer l’bordel, la tempête qui s’apprête à faire des ravages. t’aurais pas dû t’mêler d’ça, t’aurais pas dû rentrer c’soir. à peine que’ques mots qui franchissent tes lippes et t’as l’canon d’l’arme qui bifurque vers toi, qu’elle colle sur ta tempe. tu te s’rais pissé d’ssus si t’étais pas aussi fier. et y a les médocs qui lui bousille l’jugement à c’te folingue parce qu’elle presse la détente. un déclique sourd qui t’assourdi. y a l’arme qui s’est enraillé. elle allait t’tuer. toi. son fils. sa chair et son sang. l’père qui s’jette sur la maternelle pour la maîtriser. violemment. brutalement. l’alcool dans ses veines qui se r’marque rapidement, néanmoins. perte d’équilibre, elle r’prend vite le d’ssus. comprimé qui la fait s’sentir surhumaine. toute-puissante. arme qu’tu spottes, qui somnole par terre. une envie méchante, un b’soin viscéral d’t’en emparer.tes doigts qui s’enroulent autour du manche, tu désenraies avant d’poser ton index sur la gâchette. l’père qui t’a montré comment faire. y aurait pas dû. tu t’écorches les cordes vocales, la suppliant d’se calmer, objet d’malheur maint’nant pointé sur elle. et c’quand elle s’jette sur toi qu’ça dérape. tu tires. l’coup est partit tout seul, comme ça. trop facilement. t’as l’visage trempé d’larme, la bouche rempli d’salive qu’t’arrives pas à avaler lorsqu’son corps s’écrase contre l’parquet d’la salle d’séjour. tu r’nifles, essuies ta gueule à l’aide d’la manche d’ton chandail avant d’ret’nir ton souffle. c’est ça qu’ça fait, d’tuer quelqu’un? sentiment d’soulagement qu’a pas lieu d’être. l’calme après la tempête, comme si tu v’nais d’gagner une bataille. et, merde, t’es pas dans un putain d’jeu, là! y a l’padre qui s’lamente, qu’t’écoutes pas, qui t’arrache l’gun des mains alors qu’tu demeures implacable, prunelles rivés sur son cadavre. sur la belle grosse connerie qu’tu viens d’commettre. et vous êtes restés là une bonne heure, les deux blackburn, dans les bras l’un d’l’autre, avant d’app’ler la police. ton père qu’a pris l’blâme, qui s’est dénoncé à ta place, malgré tes supplications. et y a pas un jour où l’idée d’te dénoncer t’effleure pas l’esprit. et t’vas l’faire. mais, avant, tu comptes bien venger ta famille. celle qu’a été détruite par un seul et même homme. west.
Êtes-vous le seul au courant, ou avez-vous mis d'autres personnes dans la confidence ? y a qu’toi et l’padre qu’êtes au courant. et l’blackburn osera jamais t’dénoncer, c’bien ça qui t’fait chier. ce s’rait plus simple, vachement plus simple, même. t’aurais pu t’en sortir pour légitime défense, p’t’être. ou bien on t’aurait enfermé en psychiatrie, prétextant qu’ta pulsion meurtrière s’rait liée à ton manque d’sommeil, un délire d’insomniaque, des hallucinations qu’t’arrives pas à contrôler. t’en aurais pris pour quoi? dix ans, p’t’être bien, même sept pour bonne conduite. à trente-deux ans, maximum, tu s’rais sorti, avec, encore, d’belles années d’vant toi et la possibilité de r’partir à zéro. ça l’aurait fait. ç’aurait pu l’faire. mais, au lieu d’ça, c’est l’vieux qui paie pour ta connerie, prison à vie, sans possibilité d’libération conditionnelle. il est coincé là, guettant l’jour d’sa mort avec hâte. il survivra pas, l’padre, il va s’tuer bien avant qu’on s’doute d’quoi qu’ce soit, rien qu’pour pas qu’ils ouvrent une nouvelle enquête, bien avant qu’tu t’dénonces après t’être vengé. toi et ta famille. enfin, pour c'qu'elle était avant.

pseudo/prénom: c’bon, vous l’savez à force error_ (7) 2232778743âge: toujours 22. ☆ pays/région: encore à la même place. ☆ avis sur le forum: ç’arrête pas d’empirer côté moch’té error_ (7) 2232778743autre: error_ (7) 4207459893


Dernière édition par Seven Blackburn le Lun 2 Juil - 15:57, édité 5 fois
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Cami West


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MessageSujet: Re: error_ (7)   error_ (7) EmptyDim 1 Juil - 11:09

t'es ca-non error_ (7) 270428687
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Darrel White Jr


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MessageSujet: Re: error_ (7)   error_ (7) EmptyDim 1 Juil - 11:45

yeah babe
re-bienvenue ici avec ce nouveau perso, j'ai hâte d'en savoir plus error_ (7) 2787013046
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MessageSujet: Re: error_ (7)   error_ (7) EmptyDim 1 Juil - 13:46

t'es meuch error_ (7) 666446397
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MessageSujet: Re: error_ (7)   error_ (7) EmptyDim 1 Juil - 18:17

encore un beau gosse error_ (7) 2232778743
encore un personnage qui envoie déjà du lourd error_ (7) 2232778743
encore un début de fiche parfait error_ (7) 2232778743

c'est lassant à force, fais-nous un peu de nullité, ça changera Rolling Eyes
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Jayden Rhodes


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MessageSujet: Re: error_ (7)   error_ (7) EmptyLun 2 Juil - 10:15

encore un personnage bien dans sa peau error_ (7) 2827345908
rebienvenue. Et évidement, t'es beau comme ça aussi error_ (7) 1570949016
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Seven Blackburn


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MessageSujet: Re: error_ (7)   error_ (7) EmptyLun 2 Juil - 16:02

Cami West a écrit:
t'es ca-non error_ (7) 270428687

pis toi? error_ (7) 4033307529 error_ (7) 1518473255

Darrel White a écrit:
yeah babe
re-bienvenue ici avec ce nouveau perso, j'ai hâte d'en savoir plus error_ (7) 2787013046

MERCI error_ (7) 1326223587

Simon Hartwell a écrit:
t'es meuch error_ (7) 666446397

y a cami qu'est pas d'accord error_ (7) 2232778743 error_ (7) 1415170570

Allie Vaughn a écrit:
encore un beau gosse error_ (7) 2232778743
encore un personnage qui envoie déjà du lourd error_ (7) 2232778743
encore un début de fiche parfait error_ (7) 2232778743

c'est lassant à force, fais-nous un peu de nullité, ça changera Rolling Eyes


encore un personnage avec lequel j'irais t'quémander un lien error_ (7) 2232778743
encore un commentaire trop choupie error_ (7) 2232778743
encore un câlin qu'j'ai envie d'te faire error_ (7) 2232778743

c'est lassant à force, fais nous une crise et envoie nous chier, ça changera Rolling Eyes
(jtm, merci error_ (7) 1160361169)

Jayden Rhodes a écrit:
encore un personnage bien dans sa peau error_ (7) 2827345908
rebienvenue. Et évidement, t'es beau comme ça aussi error_ (7) 1570949016

roh, merci, trop sympa error_ (7) 3262879371
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Cami West


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MessageSujet: Re: error_ (7)   error_ (7) EmptyLun 2 Juil - 16:06


- tu es validé -
but first, coffee.

quand vas-tu cesser d'être parfait ? error_ (7) 861097818

tu es validé, tout le staff te félicite ! voici maintenant quelques banalités pour t'y retrouver sur le forum !
↠ il te faut recenser le métier et le logement de ton personnage. tu peux également lui créer une fiche de liens afin de lui trouver des amis plus facilement ! tu peux bien entendu aussi créer des pré-liens pour ton personnage.
↠ en cliquant, tu trouveras également des informations sur ceux qui mettent la panique en ville, les night owls, ainsi que sur les défis qu'ils peuvent te donner.
↠ pas de risque de te perdre parmi les double-comptes si tu prends le temps de cliquer.
↠ pour terminer, si tu te plais parmi nous, n'hésite pas à le faire savoir en allant voter sur les top-sites et donner ton avis sur le sujet Bazzart de Purple Haze !
encore une fois bienvenue sur le forum, toute l'équipe est prête à te chouchouter en te donnant une bonne tasse de thé ou de chocolat chaud et en répondant à tes questions si tu en as ! BON JEU SUR PURPLE HAZE
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Timothé Wolfgang


- Timothé Wolfgang -

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MessageSujet: Re: error_ (7)   error_ (7) EmptyLun 2 Juil - 16:39

Bienvenue par ici avec un peu de retard error_ (7) 2157042015
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MessageSujet: Re: error_ (7)   error_ (7) EmptyMar 3 Juil - 15:40

Seigneur dieu.... encore un perso que je vais embêter
Rebienvenue error_ (7) 925814074 Il est perf !
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